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2024
ElémenTerre
L’appel de la Nature
En emménageant en Normandie, à Dives-sur-Mer, j’ai tout de suite été fasciné par les modulations des paysages marins et l’abstraction de leurs lignes délimitant les quatre éléments de notre planète : la terre (la plage), l’eau (la mer), l’air (le ciel) et le feu (le soleil). Selon les marées et les saisons, la nature me rappelait en permanence sa beauté majestueuse, sa fragilité écologique et sa puissance destructrice. Une force mystérieuse m’obligea presque quotidiennement à venir saisir des dizaines de photographies avec mon vieil i-phone sur la promenade de Cabourg, pratiquement toujours au même endroit. Une obsession de l’instantané ; mon Smartphone me permettant une liberté de mobilité par rapport à du matériel professionnel et me délivre un rendu poétique « imparfait », plus ou moins pixelisé et flou. Je ne voulais au début aucune présence humaine, par soucis d’abstraction, d’émotion visuelle pure : l’opposé de l’intime humain de mes films, remplissant toute l’image. Et, petit à petit, j’ai trouvé intéressant de déceler dans mes paysages un élément ou un groupe d’éléments humains ou d’animaux, perdus dans l’immensité de la nature.
En emménageant en Normandie, à Dives-sur-Mer, j’ai tout de suite été fasciné par les modulations des paysages marins et l’abstraction de leurs lignes délimitant les quatre éléments de notre planète : la terre (la plage), l’eau (la mer), l’air (le ciel) et le feu (le soleil). Selon les marées et les saisons, la nature me rappelait en permanence sa beauté majestueuse, sa fragilité écologique et sa puissance destructrice. Une force mystérieuse m’obligea presque quotidiennement à venir saisir des dizaines de photographies avec mon vieil i-phone sur la promenade de Cabourg, pratiquement toujours au même endroit. Une obsession de l’instantané ; mon Smartphone me permettant une liberté de mobilité par rapport à du matériel professionnel et me délivre un rendu poétique « imparfait », plus ou moins pixelisé et flou. Je ne voulais au début aucune présence humaine, par soucis d’abstraction, d’émotion visuelle pure : l’opposé de l’intime humain de mes films, remplissant toute l’image. Et, petit à petit, j’ai trouvé intéressant de déceler dans mes paysages un élément ou un groupe d’éléments humains ou d’animaux, perdus dans l’immensité de la nature.
L’art comme un jeu
Aujourd’hui, j’aborde le monde de l’Art par le « jeu », pour que le futur acquéreur de l’œuvre puisse interagir avec mon travail d’artiste plasticien photographe. Mes premières séries d’œuvres, ElémenTerre, II et III, des paysages marins, sont des photos-sculptures composées de plaques d’aluminium aimantées sur plusieurs supports et interchangeables.
Je pousse la saturation des aplats de couleurs pour offrir à voir une autre réalité, une « surréalité ».
En divisant mes photographies en plusieurs parties, je déconstruit ma vision horizontale de réalisateur d’images animées, pour créer des images verticales fixes, métaphores des photographies prises par les Smartphones et diffusées sur les réseaux sociaux.
Une réflexion sur le changement de perception du cadre au XXIème siècle.
Aujourd’hui, j’aborde le monde de l’Art par le « jeu », pour que le futur acquéreur de l’œuvre puisse interagir avec mon travail d’artiste plasticien photographe. Mes premières séries d’œuvres, ElémenTerre, II et III, des paysages marins, sont des photos-sculptures composées de plaques d’aluminium aimantées sur plusieurs supports et interchangeables.
Je pousse la saturation des aplats de couleurs pour offrir à voir une autre réalité, une « surréalité ».
En divisant mes photographies en plusieurs parties, je déconstruit ma vision horizontale de réalisateur d’images animées, pour créer des images verticales fixes, métaphores des photographies prises par les Smartphones et diffusées sur les réseaux sociaux.
Une réflexion sur le changement de perception du cadre au XXIème siècle.